Communiqués de presse

Lors de sa séance du 10 octobre 2023, le Comité directeur de l'Union suisse des arts et métiers usam a convenu de la succession du directeur de l'usam. Il propose à la Chambre suisse des arts et métiers d’élire Urs Furrer (51 ans). Ce juriste et avocat est directeur des asso­ciations professionnelles Chocosuisse et Biscosuisse depuis 2014. Son entrée en fonction est prévue pour le 1er mai 2024. Jusqu'à cette date, la direction opérationnelle de l'usam est assurée par Kurt Gfeller et Dieter Kläy, qui assument la codirection par intérim.

L’Union suisse des arts et métiers usam se prononce très clairement en faveur du projet d’extension du réseau des routes natio­nales. Les routes natio­nales revêtent une importance systémique pour le transport de marchandises. L’extension du réseau est indispensable, car il existe aujourd’hui déjà de sévères goulets d’étranglement générant des coûts élevés.

Les organisations faîtières de l'éco­no­mie et de l'agriculture suisses s'en­gag­ent pour la stabilité, la sécurité et des conditions-cadres compétitives. Dans l'optique d'un développement de notre pays orienté vers l'avenir, elles appel­lent à une participation active aux élections fédérales en soutenant les candidates et candidats favorables à l'économie et à l'agriculture.

Le Comité directeur de l’Union suisse des arts et métiers usam a mis en place la direction intérimaire du secrétariat et lancé le processus de recrutement pour la succession à la direction. La Chambre suisse des arts et métiers devrait élire la nouvelle directrice ou le nouveau directeur de l’usam en octobre 2023.

Lors de sa séance du 28 juin 2023, la Chambre suisse des arts et métiers, soit le parlement de l'Union suisse des arts et métiers usam, a confirmé de manière consultative la décision du Comité directeur de l'usam du 9 juin: la nomination d'Henrique Schneider au poste de directeur de l'usam est ré­voquée. «Je me réjouis de la discussion au sein de la Chambre suisse des arts et métiers et de la décision prise de manière consultative. Cela légitime également la décision du Comité directeur et renforce la crédibilité de l'usam», déclare le président de l'usam Fabio Regazzi.

L’Union suisse des arts et métiers usam accueille de manière positive mais prudente l’approche par paquet décidée par le Conseil fédéral dans le contexte général des relations avec l’Union européenne. Pour l’usam, cette approche constitue un moyen possible de préserver les intérêts vitaux de la Suisse. L’évaluation globale dépendra toutefois du résultat des négociations. L’usam s’oppose avec fermeté à une extension des mesures d’accompagnement.

La population suisse approuve la loi sur le climat et l’innovation. Pour l’Union suisse des arts et métiers usam, une chose est sûre: aujourd’hui plus que jamais, il est nécessaire de s’engager pleinement en faveur de la sécurité de l’approvisionnement. Pour atteindre les objectifs climatiques ambitieux fixés par la population, nous devons augmenter considérablement notre production d’électricité d’ici 2050.

L’Union suisse des arts et métiers usam salue la décision positive du peuple suisse con-cernant le taux d’imposition minimal de l’OCDE. L’acceptation de ce projet permet d’éviter que des recettes fiscales ne partent inutilement à l’étranger. L’usam salue également le OUI à la loi COVID-19.

Lors de sa séance du 9 juin 2023, le Comité directeur de l'Union suisse des arts et métiers usam a décidé de révo­quer l'élection d'Henrique Schneider au poste de directeur de l'usam. Des accusations de plagiat avaient été formulées contre M. Schneider dans divers articles de presse. L'usam a fait examiner ces accusations par l’étude d'avocats Bratschi. L’avis de droit de cette dernière est désormais dispo­nible et confirme un «plagiat en série». «Pour l’usam, la crédibilité est le bien le plus précieux. C’est pourquoi le Comité directeur a décidé de prendre cette mesure après une discussion appro­fondie», déclare le président de l'usam, Fabio Regazzi.

Le 18 juin 2023, les Suissesses et les Suisses se prononceront sur l’impo­si­tion minimale de l’OCDE. Pour les faîtières de l’économie et de l’agri­culture, il est clair qu’il faut éviter aux entreprises suisses des procédures fiscales compliquées à l’étranger et veiller à ce que les recettes fiscales supplémentaires restent en Suisse. C’est pourquoi economiesuisse, l’Union suisse des arts et métiers usam, l’Union patronale suisse et l’Union suisse des paysans disent Oui à la mise en œuvre de l’imposition minimale de l’OCDE.